Ayuda
Ir al contenido

Dialnet


Resumen de Chapter 27. Maritime Archaeology and Marine Conservation: the Needfor Synergy in an Uncertain Future

Samantha D. Farquhar, Maria J. Santos

  • English

    Abstract: Marine conservationists are concerned with preserving and understanding living resources found within our seas whereas marine archaeologists are concerned with preserving and understanding the non-living. Despite having different motivations, marine conservation and marine archaeology are fighting against the same anthropological threats, including climate change, fishing activities, and offshore development. In recent years, the safeguarding of marine and cultural resources has been increasingly recognized through international commitments such as the 2010 Aichi Biodiversity Targets and the 2030 Development Agenda via the creation of 17 Sustainable Development Goals (SDGs). These goals and targets cover both pressing social and biological issues, but meeting these commitments has since been a challenge. In regards to biological conservation, both Aichi Target 11 and SDG 14.5 call for the conservation of 10% of the marine and coastal environment by 2020. Parties also agreed to SDG 11.4, which aims to strengthen efforts to protect the world’s cultural and natural heritage.While number-based goals, such as Aichi 11 and SDG 14.5, have been more popular given they are easier to track, qualitative goals, such as SDG 11.4, have been harder to measure. We highlight how synergy can be promoted between the conservation of both biological and cultural resources while contributing towards international commitments Aichi Target 11, SDG 14.5, and SDG 11.4 through «oth-er effective area-based conservation measures» or OECMs. OECMs are a recent innovation in the marine conservation policy realm. They describe an area whose primary purpose is not biological conservation, but by consequence, biodiversity is benefiting. While OECM designation would allow an area to be internationally recognized as protected and counted towards the global conservation goals, more importantly, the OECM designation has the potential to increase the recognition of more stakeholders that contribute toward in-situ biological conservation and increase ecological representation and connectivity that is lacking among existing marine protected areas (MPAs). Using Underwater Archaeological Parks (UAPs)of Portugal as an example, we show that maritime archaeological sites have the potential to be designated as OECMs and Parties should consider them as OEC-Ms become mainstreamed in conservation practices.

  • français

    Résumé: Les défenseurs de la conservation de la mer s’inquiètent de la préservation et la compréhension même des ressources vivantes présentes dans nos mers, tandis que les archéologues marins s’inquiètent de la préservation et de la compréhension des éléments non-vivants. Malgré des motivations différentes, la conservation marine et l’archéologie marine luttent contre les mêmes menacesanthropiques, notamment le changement climatique, les activités de pêche et le développement offshore. Ces dernières années, la préservation des ressources marines et culturelles a été de plus en plus reconnue dans les engagements internationaux tels que les objectifs d’Aichi pour la biodiversité de 2010 et le programme dedéveloppement à l’horizon 2030 via la création de 17 objectifs de développement durable (ODD). Ces objectifs et cibles couvrent à la fois des problèmes sociaux et biologiques urgents, mais respecter ces engagements est devenu un défi. En ce qui concerne la conservation biologique, l’objectif 11 d’Aichi et l’objectif de developpement durable 14.5 préconisent la conservation de 10% de l’environnement marin et côtier d’ici 2020. Les parties ont également adopté l’ODD 11.4 qui vise à renforcer les efforts de protection du patrimoine mondial, culturel et naturel. Bien que les objectifs fondés sur des nombres, tels qu’Aichi 11 et SDG 14.5, soient pluspopulaires car ils sont plus faciles à suivre, les objectifs qualitatifs, tels que SDG 11.4, sont plus difficiles à mesurer. Nous soulignons comment la synergie peut être favorisée entre la conservation des ressources biologiques et culturelles tout en contribuant au respect des engagements internationaux des objectifs d’Aichi 11, ODD 14.5 et ODD 11.4 par le biais «d’autres mesures de conservation efficaces par zone» ou OECM. Les OECM constituent une innovation récente dansle domaine de la politique de conservation marine. Ils décrivent une zone dont la conservation biologique n’est pas le but principal, mais qui est propice à la biodiversité. Bien que la désignation OECM permette de reconnaître internationalement une zone protégée et d’être comptabilisée dans les objectifs de conservation globaux, elle est également susceptible de renforcer la reconnaissance d’un plusgrand nombre de parties prenantes qui contribuent à la conservation biologique in situ et d’accroître la représentation et la connectivité écologiquesqui manquent au sein des aires marines protégées (AMP) existantes. En prenant comme exemple les parcs archéologiques sous-marins du Portugal, nous montrons que les sites archéologiques maritimes ont le potentiel d’être désignés OECM et que les Partiesdevraient les prendre en compte au fur et à mesure que les OECM seront intégrésaux pratiques de conservation.


Fundación Dialnet

Dialnet Plus

  • Más información sobre Dialnet Plus