Ceux qui se sont imaginé que l’attribution du "Cymbalum mundi" à Bonaventure Des Périers était incertaine ont négligé bien des éléments positifs, et notamment que Des Périers parlait de lui-même dans l’ouvrage. Il y fait allusion à son intervention dans la querelle entre Marot et Sagon. Ce constat achève de ruiner la fable suivant laquelle il aurait penché vers l’évangélisme.
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