Comment comprendre que le tatouage ne soit plus une marque de résistance ou de marginalité, mais soit désormais investi d’une valeur esthétique ? De stigmate, honteux et ostracisant, il semble qu’il ait pris la valeur d’archive personnelle ou de parure, et qu’il soit utilisé pour appliquer au corps une logique narrative ou scénographique.
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