Malgré l’absence de pratiques coercitives ou d’approche populationnelle, l’emploi de plus en plus répandu de la génétique dans la sphère de la procréation relève bien de l’eugénisme, puisqu’il consiste à manipuler le génome pour améliorer l’espèce. Cette quête de pureté et de performance est-elle néanmoins souhaitable, et ne risque-t-elle pas d’appauvrir la diversité génétique acquise par notre espèce ?
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