EMILE introduit une dimension, la dimension cognitive, qui dans le CECR n’apparaît pas ou,tout au moins elle n’est pas explicitement énoncée. En effet, parmi le buts d’utilisation de la langue on ne prend pas en considération la langue pour apprendre. Les deux approches pourtant non seulement sont compatibles mais elles renforcent l’apprentissage du contenu aussi bien que l’acquisition de la langue. Un outil serait nécessaire aux enseignants et aux chercheurs : un cadre de référence, semblableau CECR qui décrive les compétences EMILE. Nous avons essayé d’élaborer un premier schéma, une sorte de cadre conceptuel sur la base del’observation de classes d’école primaire, correspondant au niveau A1 du Cadre. Il s’agit d’unepremière ébauche, assez rudimentaire, qu’on aimerait bien approfondir, en collaboration, éventuellement avec d’autres institutions et d’autres pays.
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