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Resumen de Activité physique, dépression, anxiété et obésité chez les adolescents scolarisés de Béni Tadjit, Est du Maroc

Nour El Yakine Lakhdar, Driss Lamri, Moulay Laarbi Ouahidi

  • English

    Introduction: The main objective of this study was to investigate the prevalence of obesity and the relationship between body mass index (BMI) and physical activity; the association of physical activity, depression and anxiety among Moroccan students in attempt to identify factors that promote weight gain.

    Methodology: The study was carried out through a questionnaire-based survey at Ibn al-Banna al-Marrakushi High School in BaniTadjit-Morocco on 451 pupils aged between 17.31 ± 1.13 years. Questionnaires included anthropometric measurements, body composition, a physical activity diary and the relationship between physical activity and depression. In addiction, participants’ height and weight and were measured. Analysis of the results was conducted by statistical software, SPSS 26.0.

    Pearson's Chi-square tests were used for the qualitative variables and comparison of means tests for the quantitative variables. The characteristics of the responding subjects were described in terms of mean, standard deviation for quantitative variables and percentage for qualitative variables. Each score was described by its mean and standard deviation.

    Research Outcomes: Out of 451 (100%) students including 191 (42.35%) boys and 260 (57.64%) girls. Of these students, 23.30% had a high anxiety score and a 12.70% high depression score. Recreational physical activity energy expenditure averaged 11,500.5 ET 9831.8 MET-minutes (Metabolic Equivalent Task) per week. The quality of life pertaining to somatic health was higher among the least obese students: 32.81 among students with a Body Mass Index (BMI) between 25 and 30 kg/m2 while only 13.97 among students with a BMI 35 kg/m2 ; the high rate of obesity caused by high numbers of cases infected with diabetes. A recreational energy expenditure of an additional 100 METs per week was associated with a lower HAD depression score of 14 points. Factors limiting physical activity included lack of motivation (58.5% of students), pain (32.4%), high weight (42.1%), and ‘time constraints’ (69.7%).

    Conclusion: Physical activity appears to have particularly interesting effects on anxiety and depression. Studies should be carried out to deepen and better characterize these links. It would be of particular interest to study the effects of physical activity in the elderly and on children and adolescents. The study of the effect of physical activity on anxiety disorders and depressive disorders could be useful as these two disorders are often associated.

  • français

    Introduction : L’objectif de ce travail était d’étudier la prévalence de l’obésité et la relation entre l’indice de masse corporel (IMC) et l’activité physique, l’association de l’activité physique et la dépression et l’anxiété chez les élèves scolarisés marocains et identifier les facteurs favorisant la prise pondérale.

    Méthodes : Une enquête descriptive par questionnaire a été réalisée au niveau du lycée Ibn al-Banna al-Marrakushi a Bani tadjit-Maroc sur 451 élèves âgés de 17,31 ± 1,13 ans. Questionnaire incluait des mesures anthropométriques, la composition corporelle, un journal d’activité physique et la relation entre l’activité physique et la dépression, et nous avons mesuré leur taille et leur poids a l’aide des enquêteurs. L’analyse des résultats a été menée par le logiciels statistiques, SPSS 26.0. Des tests du Chi-2 de Pearson ont été utilisés pour les variables qualitatives et des tests de comparaison de moyennes pour les variables quantitatives. Les caractéristiques des sujets répondants ont été décrites en termes de moyenne, écart-type pour les variables quantitatives et de pourcentage pour les variables qualitatives. Chaque score a été décrit par sa moyenne et son écart type.

    Résultats : Sur 451 élèves dont 191 (42,35%) garçons et 260 (57,64%) filles, 23,30 % avaient un score élevé d’anxiété, 12,70 % un score élevé de dépression. La dépense énergétique liée aux activités physiques de loisirs était en moyenne de 11500,5 ± 9831,8 MET-minutes (Metabolic Equivalent Task) par semaine. La qualité de vie liée à la santé somatique était plus élevée chez les élèves les moins obèses : 32,81 chez les élèves avec un Indice de Masse Corporelle (IMC) entre 25 et 30 kg/m2 et 13,97 chez les élèves avec un IMC ≥ 35 kg/m2 , le taux élevé d’obésité a cause de nombre élevé des cas infecté par le diabète. Une dépense énergétique de loisirs de 100 MET de plus par semaine était associée à un score de dépression du questionnaire HAD plus bas de 14 points. Les facteurs limitant la pratique d’activité physique étaient le manque de motivation (58,5 % des élèves), les douleurs (32,4 %), le poids élevé (42,1 %), et le manque de temps (69,7 %).

    Conclusion : L’activité physique semble avoir des effets particulièrement intéressants sur l’anxiété et la dépression. Des études doivent être réalisées afin d’approfondir et mieux caractériser ces liens. Il serait particulièrement intéressant d’étudier les effets de l’activité physique chez les personnes âgées et sur les enfants et les adolescents. L’étude de l’effet de l’activité physique sur les troubles anxieux et sur les troubles dépressifs pourrait être judicieuse dans la mesure où ces deux troubles sont souvent associés.


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