Les chauffeurs travaillant pour des plateformes de services comme Uber sont bien des salariés, selon un arrêt rendu par le conseil des prud’hommes de Lyon. Alors que l’essor des plateformes en ligne entraîne une massification du salariat déguisé, il est indispensable de privilégier la réalité du travail effectué plutôt le critère de la subordination juridique, de plus en plus flou.
© 2001-2025 Fundación Dialnet · Todos los derechos reservados