Si le mouvement « Femme, vie, liberté » s’articule autour d’un rejet de l’État théocratique par une jeunesse largement sécularisée, il est également le terrain d’expression d’une subjectivité d’un genre nouveau, où revendication de la joie de vivre et de la liberté remplace l’idéologie lugubre et mortifère du sacrifice au nom du martyre véhiculée par le régime.
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