La Montagne, the last part of Jules Michelet’s natural history essays, appears in more ways than one as an essay on the Revolution. Embodied by a particular episode or apprehended as an essence, the Revolution constantly feeds the micheletian imagination. In addition to the explicit references to the revolutionary years, the text makes the Alps a real agent of socio-political transformations. Throughout the landscapes, the historian transposes a series of revolutionary values such as peace, the primacy of the people and the heroism of the humble
La Montagne, dernier volet des essais d’histoire naturelle de Jules Michelet, apparaît à plus d’un titre comme un essai sur la Révolution. Incarnée par un épisode particulier ou appréhendée comme une essence, la Révolution nourrit constamment l’imaginaire micheletien. Outre les références explicites aux années révolutionnaires, le texte fait des Alpes un véritable actant des transformations sociopolitiques. Au fil des paysages, l’historien transpose une série de valeurs révolutionnaires comme la Paix, le primat du peuple et l’héroïsme des humbles
© 2001-2024 Fundación Dialnet · Todos los derechos reservados