Una ruptura epistemológica es un quiebre y salto debido a que una ciencia ya no puede responder algunas cuestiones, estas rupturas originan nuevas formas de abordar y resolver problemas en la ciencia. Para Bachelard la ciencia no es continua, sino que existen estas rupturas para el avance de la ciencia. En varios de sus escritos comienza a anteponer el sufijo ‘’no’’ para referirse a todas esas novedosas formas de vislumbrar a los recientes descubrimientos de las investigaciones que eran inabordables por la ciencia pasada. De esta manera se comenzaría a hablar de la geometría no euclideana, la lógica no aristotélica, la epistemología no cartesiana, la ciencia no baconiana, la ontología no kantiana, las medidas no arquimédicas, la mecánica no newtoneana, la física no maxwelliana, la aritmética no conmutativa, el no sustancialismo, la geometría no analítica y la química no lavoisiana. Este ‘’no’’, no es una negación o una antítesis radical, sino más bien este ‘’no’’ indica que es un caso más generalizado de su ciencia. Este ‘’no’’ indica que esta ciencia sirve para otros casos que la anterior no pudo resolver. En el siguiente artículo explicaremos en qué consisten estas filosofías del no y analizaremos si, luego de discernir estos conocimientos, es posible que existan las llamadas químicas no lavoisianas.
Une rupture épistémologique est une rupture et un saut parce qu'une science ne peut plus répondre à certaines questions, ces ruptures sont à l'origine de nouvelles façons d'aborder et de résoudre les problèmes en science. Pour Bachelard, la science n'est pas continue, mais ces ruptures existent pour faire avancer la science. Dans plusieurs de ses écrits, il commence à utiliser le suffixe "non" pour désigner toutes ces nouvelles façons d'entrevoir les découvertes récentes de la recherche qui étaient inaccessibles à la science passée. C'est ainsi que l'on commence à parler de géométrie non euclidienne, de logique non aristotélicienne, d'épistémologie non cartésienne, de science non baconienne, d'ontologie non kantienne, de mesure non archimédienne, de mécanique non newtonienne, de physique non maxwellienne, d'arithmétique non commutative, de nonsubstantialisme, de géométrie non analytique et de chimie non-lavaloisienne. Ce "non" n'est pas une négation ou une antithèse radicale, mais il indique plutôt qu'il s'agit d'un cas plus généralisé de sa science. Ce "non" indique que cette science est utile pour d'autres cas que la précédente n'a pas pu résoudre. Dans l'article suivant, nous expliquerons en quoi consistent ces philosophies du non et nous analyserons si, après avoir discerné ces connaissances, il est possible qu'il existe une chimie dite non-lavoisienne.
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