Este ensayo analiza la arquitectura más importante de Le Corbusier y descubre en ellas un lenguaje privado y personal no traducido previamente con detenimiento. Ofrece una nueva mirada a una serie de composiciones específicas al encontrar profundas resonancias en sus bocetos, escritos, correspondencia privada y recuerdos grabados de otros. Los principales dispositivos de representación utilizados en estas composiciones son rostros y falos; sin embargo, los objetos geométricos y otros elementos representativos forman su propio léxico y están entretejidos en todas partes. Estas composiciones siguen temas de ingenio, virilidad, venganza, rememoración de uno mismo y dolor. Parece que LC emparejó intencionalmente lo profundo y lo pueril en ciertas obras de arquitectura, lo que puede haberlas hecho completas para él. Es posible que esto se haya inspirado directamente en los escritos de François Rabelais, a quien admiraba profundamente. Una construcción central y frecuentemente repetida del autorretrato que se presenta aquí es el “diagrama de dos ojos”, que LC creó para explicar cómo la dialéctica materia-espíritu jugaba un papel fundamental a la hora de retratarse a sí mismo y expresar su visión del mundo y su proceso creativo.
This essay analyzes Le Corbusier’s most important architecture and uncovers in them a previously untranslated private and personal language with extended narratives. It offers a fresh look at a number of specific compositions by finding deep resonances in his sketches, writings, private correspondence, and others’ recorded memories. The main representational devices used in these compositions are faces and phalluses; however, geometric objects and other representative elements comprise their own lexicon and are interwoven throughout. These compositions follow themes of wit, virility, revenge, self-memorialization, and grief. It appears that LC intentionally paired the profound and the puerile in certain works of architecture, which may have made them complete for him. This may have been directly modeled on the writing of François Rabelais, whom he deeply admired. One central and oft-repeated self-portrait construct advanced here is the “two-eye diagram”, which LC created to explain how the matter-spirit dialectic played a fundamental role in portraying himself and expressing his world view and creative process.
Cet essai analyse l'architecture la plus importante de Le Corbusier et y découvre un langage privé et personnel jusqu'alors non traduit avec des récits étendus. Il offre un nouveau regard sur un certain nombre de compositions spécifiques en trouvant des résonances profondes dans ses esquisses, ses écrits, sa correspondance privée et les souvenirs enregistrés d'autres personnes.
Les principaux dispositifs de représentation utilisés dans ces compositions sont les visages et les phallus ; cependant, les objets géométriques et autres éléments représentatifs constituent leur propre lexique et sont entrelacés partout. Ces compositions suivent les thèmes de l'esprit, de la virilité, de la vengeance, de l'auto-mémorialisation et du chagrin. Il semble que LC ait intentionnellement associé le profond et le puéril dans certaines œuvres architecturales, ce qui les a peut-être rendues complètes pour lui. Cela peut avoir été directement calqué sur l'écriture de François Rabelais, qu'il admirait profondément. Une construction centrale et souvent répétée de l’autoportrait avancée ici est le « diagramme à deux yeux », que LC a créé pour expliquer comment la dialectique matière-esprit a joué un rôle fondamental dans sa représentation. Cela exprimait également sa vision du monde et son processus créatif.
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