L’article interroge le lien qu’entretient la littérature philosophique clandestine avec les milieux intellectuels prussiens avant Frédéric II. Si la lecture de textes clandestins semble surtout s’inscrire dans les controverses confessionnelles (contre les catholiques, mais aussi contre les luthériens de la part des calvinistes), on observe aussi la présence d’arguments rationalistes et d’une critique historique chez certains auteurs qui nous rapprochent de l’univers clandestin.
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