Cet ouvrage montre que la correspondance appartient proprement à l’œuvre de Rousseau et qu’il serait désormais périlleux de poursuivre une recherche littéraire sans entrer dans la matière et la poétique de ses lettres. Aussi l’originalité de ce livre tient-elle non seulement au point de vue adopté sur ce qu’on peut appeler une correspondance-œuvre, mais aussi au croisement nécessaire des approches biographiques, littéraires et philosophiques qu’elle suggère
págs. 15-30
Un ami de Rousseau méconnu: Henri Laliaud
págs. 31-56
La correspondance de Rousseau avec la fomille Dupin: jean-jacques était-il un parasite?
págs. 57-70
págs. 71-92
págs. 93-116
págs. 117-132
págs. 133-146
págs. 147-154
L'ami n'est pos l'amitié: l'amitié dans la correspondance de Rousseau et de Diderot
págs. 155-168
Une correspondance morale: Rousseau et madame d'Houdetot
págs. 169-186
Le paradoxe de la vertu: Rousseau et Carondelet
págs. 187-206
Proftsser sa foi en toutes lettres: la correspondance de Rousseau-Vernes
págs. 207-222
L'idée de révolution chez Rousseau (1756-1760}: essai sur !'origine d'une réception paradoxale
págs. 223-234
págs. 235-248
págs. 249-264
págs. 265-284
págs. 285-296
Entre Rousseau et Hume: de la lettre manuscrite a la lettre imprimée
págs. 297-308
págs. 309-320
págs. 321-328
págs. 339-350
págs. 351-374
págs. 375-390
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