Daniel Le Blévec (coord.)
Au Moyen Âge, des religieux trouvent en montagne l’isolement nécessaire à l’épanouissement de leur spiritualité. Les maisons de prière qu’ils y fondent participent néanmoins au développement des relations entre les hauteurs et la plaine : en dépit de leur idéal de solitude, elles n’en sont pas moins ouvertes sur le monde extérieur, beaucoup d’entre elles sont aussi des lieux de passage, des points de contact, des espaces symboliques dans les activités humaines et économiques. En croisant des perspectives historiques, archéologiques et géographiques, cet ouvrage collectif apporte un nouveau regard sur les monastères et les couvents de montagne.
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