Ayuda
Ir al contenido

Dialnet


La discrimination positive et la loi texane « des dix pour cent »

  • Autores: Marta Tienda, Sigal Alon, Sunny Xinchun Niu
  • Localización: Sociétés contemporaines, ISSN 1150-1944, Nº 79, 2010 (Ejemplar dedicado a: Diversité et formation des élites : France-USA), págs. 19-39
  • Idioma: francés
  • Texto completo no disponible (Saber más ...)
  • Resumen
    • Au Texas, la suppression des programmes de discrimination positive dans les établissements d'enseignement supérieur public consécutive à l'arrêt Hopwood de 1996 a conduit les autorités universitaires à rechercher des substituts susceptibles de produire un minimum de diversité ethnoraciale au sein de la population étudiante. L'un d'entre eux est le texte voté par l'assemblée législative de l'État en 1997, en vertu duquel les lycéens classés dans le dixième supérieur à l'échelle de leur établissement se voient garantir l'admission dans toutes les universités publiques texanes, quels que soient leurs scores aux tests en vigueur. Le dispositif était conçu pour accroître le nombre d'étudiants noirs et hispaniques, étant donné le degré de ségrégation scolaire des lycées en question. Cet article vise à déterminer si et dans quelle mesure cet objectif a été atteint, ainsi que celui parallèlement poursuivi consistant à accroître le nombre des lycées dont seraient issus les étudiants de l'Université du Texas à Austin et Texas A&M University. La conclusion est que, dans les deux cas les ?programmes par pourcentage? (percentage plans) se révèlent moins efficaces que la discrimination positive, car ils ne peuvent influer qu'indirectement sur la décision initiale de présenter une candidature et ne tiennent pas compte des difficultés pouvant conduire les étudiants des minorités admis à néanmoins ne pas s'inscrire.


Fundación Dialnet

Dialnet Plus

  • Más información sobre Dialnet Plus

Opciones de compartir

Opciones de entorno