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Resumen de Effectiveness of chitosan preparations against "Brettanomyces bruxellensis" grown in culture media and red wines

Biljana Petrova, Zachary M. Cartwright, Charles G. Edwards

  • English

    Aim: The antimicrobial properties of chitosan from different sources (fungal, crab shell, and lactate-forms) against Brettanomyces bruxellensis in culture media and red wines were investigated.

    Methods and results: While concentrations of 4 to 8 g/hL were needed for crab shell or lactate-forms of chitosan to reduce yeast viability in liquid media, fungal chitosan did not exhibit antimicrobial activities no matter the concentration. B. bruxellensis E1 and I1a were inoculated into Cabernet Sauvignon wine at 106 cfu/mL and treated with 0, 4, 8 and 12 g/hL fungal chitosan. In contrast to previous results with media, addition of fungal chitosan to a red wine resulted in a three-log reduction of culturability. Addition of fungal chitosan also reduced the viability of B. bruxellensis growing in oak barrels containing Merlot wine from 105 cfu/mL down to ≈102 cfu/mL.

    Conclusion: Depending on concentration, all preparations of chitosan added to red wines greatly reduced populations of B. bruxellensis. However, wines were not completely stable after treatment as populations eventually increased.

    Significance and impact of the study: As B. bruxellensis is considered to be a worldwide threat to wine quality, it is crucial to improve knowledge of alternative control methods and strategies such as chitosan that winemakers can apply.

  • français

    Objectif: Les propriétés antimicrobiennes de chitosanes de différentes sources (fongique, de crustacés et sous forme de lactate) ont été étudiées contre Brettanomyces bruxellensis dans des milieux synthétiques et des vins rouges.

    Méthodes et résultats: Bien que des concentrations de 4 à 8 g/hL de chitosane de crustacés ou sous forme de lactate ont causé une réduction de la viabilité des levures dans des milieux de culture liquides, le chitosane fongique n’a pas présenté d’effet antimicrobien, quelle que soit la concentration. Deux souches de B. bruxellensis, E1 et I1a, ont été inoculées dans un vin de Cabernet-Sauvignon à 106 UFC/mL et traitées avec 0, 4, 8 et 12 g/hL de chitosane d’origine fongique. Contrairement aux résultats précédents sur milieu de culture, l’addition de chitosane d’origine fongique dans un vin rouge a entraîné une réduction de la cultivabilité de 3 logs. L’addition de chitosane fongique a également réduit de105 UFC/mL jusqu’à ≈102 UFC/mL la viabilité de B. bruxellensis présent dans un vin de Merlot en fût de chêne.

    Conclusion: Selon la concentration, toutes les préparations de chitosane ajoutées sur vin rouge réduisent fortement la population de B. bruxellensis. Cependant, les vins ne sont pas complètement stables après le traitement, car les populations levuriennes se sont finalement redéveloppées.

    Signification et impact de l’étude: B. bruxellensis étant considérée comme une menace pour la qualité du vin dans le monde entier, il est essentiel d’améliorer la connaissance des méthodes et des stratégies alternatives de contrôle que les vignerons peuvent appliquer, telles que le chitosane.


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