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Resumen de Empirical lessons about occupational categorization from case studies of unemployment

Rebecca M Aldrich, Caroline Harkins McCarty, Brian A Boyd, Caitlin E Bunch, Cathrine B Balentine

  • English

    Background. Scrutiny regarding the typological categorization of occupation (e.g., occupation as work, rest, or leisure) has prompted interest in experiential categories as a less exclusionary alternative. Empirical research can extend the dialogue about categorization by demonstrating how people in particular situations apply and generate occupational categories. Purpose. This article explores how adults without work utilized typological and experiential categorizations when discussing their occupations. Method. Data were generated via a secondary analysis of interview transcripts from three ethnographic case studies. Findings. Study consultants gravitated toward experiential rather than typological categorizations, emphasizing the social, chosen, purposeful, and temporal qualities of their occupational engagement. Implications. Occupational therapy practitioners and researchers must explicitly state how and why they categorize occupations with clients and research participants. Whereas typological categories can be used to initiate discussions about occupation, open questions paired with consultant-generated experiential categories may better capture occupational engagement and reveal potential injustices in situations like unemployment.

  • français

    Description. L'examen approfondi de la catégorisation typologique de l'occupation (p. ex., occupation en tant que travail, repos ou loisir) a suscitél'intérêt pour une solution de rechange moins exclusive, soient les catégories expérientielles. La recherche empirique peut permettre d'élargir le dialogue sur la catégorisation en démontrant comment les personnes se trouvant dans des situations particulières utilisent et créent des catégories d'occupations. But. Cet article explore la façon dont des adultes sans travail utilisaient des catégorisations typologiques et expérientielles pour discuter de leurs occupations. Méthodologie. Des données ont étéproduites à l'aide d'une analyse secondaire des transcriptions d'entrevues tirées d'études de cas ethnographiques. Résultats. Les consultants des études gravitaient autour des catégorisations expérientielles plutôt que des catégorisations typologiques, en mettant l'accent sur les qualités sociales, choisies, utiles et temporelles de leur engagement occupationnel. Conséquences. Les thérapeutes et les chercheurs doivent énoncer explicitement comment et pourquoi ils utilisent des catégories d'occupations avec les clients et les participants à la recherche. Lorsque les catégories typologiques peuvent être utilisées pour amorcer les discussions au sujet de l'occupation, des questions ouvertes, combinées aux catégories expérientielles créées par les consultants peuvent permettre de mieux saisir l'engagement occupationnel et de mettre en relief d'éventuelles injustices dans des situations comme le chômage.


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