La formation à l’évaluation est une entreprise difficile parce qu’elle touche aux convictions, aux « épistémologies profanes » et donc aux dynamiques identitaires.
Un travail sur soi d’ordre épistémologique (savoir d’où l’on parle) est nécessaire quand on a accepté que les attitudes de l’évaluateur dépendent d’ingrédients culturels acquis. À ce titre, le concept pragmatique de « paradigme profane » développé dans ce texte occupe une place centrale.
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